Une maison, une ville, une planète, la vie. C'est tout ce que demande un être humain. Avoir un coeur... C'est tout ce que demande ceux qui s'aiment.. Ne pas qu'elle meurt... C'est tout ce que je demande. Je me réveillais pas, j'était couchée dans mon lit entièrement bleu dans ma chambre bleu et rouge avec un autre lit, totalement rouge. Le sien. Mon nom était sur son coussin "Amethyste Evangéline" au dos était marqué le sien "Saphir Eléna". Sur le mien c'était l'inverse. Mes cheveux étaient en batailles autour de moi, longs, bruns. Les siens étaient courts et également bruns. Ma jumelle...
Quelques heures plus tard, mes yeux bleus s'ouvrèrent. Une odeur étrange parvenais dans la chambre. Saphir dormais encore. Je sortit de la chambre, allant dans cette chère cuisine me préparant à manger. Je me frotta les yeux, non je devait rêver... La cuisine était rouge sang ! Naturellement elle devait être blanche ! Je retournât dans le salon, le canapé blanc était tachés de sang, une femme brune aux yeux verts couchée au sol, en sang. Ma mère... Je courut dans ma chambre, réveiller ma soeur, j'était paniquée. Je la secoua légèrement, elle me poussa la main. Me redressant, je vit ma main qui était posée sur son lit... Je n'en croyais pas mes yeux, ma main était ensanglantée, je pris le téléphone et composa un numéro. J'avais besoin d'aide, ils répondirent, la police.

"-S'il vous plaît... Venez m'aider ma mère est entrain de mourir, aidez moi"

Ça raccrocha, la ligne était coupée, le fil qui était fixé à la prise était à présent débrancher. Celui ou celle qui avait fait ça était là.. Proche de moi. Je me mis à mal respirer, j'avais peur et cela se voyait.. J'avais peur, j'avais extrêmement peur. Je prononça son nom "Saphir ?" elle était debout, ou du moins plus au lit. Elle était à quatre pattes au sol, avec cette personne.

"-Enfuie toi Amethyste ! C'est un piège !
-Non Saphir je te laisserais jamais seule !
-Oh mais ça suffit oui ?! Viens là Amethyste !
-Vous me voulez quoi batard. Vous avez tuer ma mère.
-Je veut ta mort."

Choc. Je me tournât et vu son visage, il était si jeune, et beau malheureusement, je regarda Saphir, son visage était coupé par la lame qu'il tenais en main, il la tenais proche de sa gorge. Des larmes coulaient sur mon visage, et sur son visage également. Je recula, lui faisant en langage de signes que j'allais revenir pour elle. Je courut dehors.
Trois heures après, je re-rentra. La maison n'avais plus un endroit de sa couleur naturelle. Mon lit était également rouge sang. J'alla dans la chambre, en rouge était écrit sur un mur "Je reviendrais, mais n'oublie pas que je retiens ta soeur" Je tomba à genoux au sol. Ma soeur, ma Saphir, celle pour qui j'était encore en vie... Elle devais être morte à cause de lui...

Quelques années plus tard, je vit avec mon père, ma mère est morte depuis trois ans. Je ne déclare jamais la raison. Aujourd'hui je vais commencer mon voyage pokémon. Mon père me dit toujours "fait attention" ou d'autre chose. Je tiens à lui, je ne le laissais jamais seul, même la nuit je dort avec mon père. Mais maintenant c'est mon devoir. Je deviendrais la meilleure dresseuse pokémon de toute l'histoire et je "LA" vengerais !

Chapitre 1 : Une vie rêvée qui tourne... Au cauchemar ?


DRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIING..... PONG

?? : NYAIIIIE ! Fouttue lit de micro taille ! AHORAAA DEBOUUUT !

Ça me gonfle ce réveil à la noix qui sonne au volume cent tout les matins ! Surtout cette marmotte qui se lève jamais et qui me sert de soeur. Ah oui. Sinon moi c'est Âme Sanshey, plus précisément, je suis Âme Nekiro Jury Sanshey, une collègienne de quatorze ans, soeur de la marmotte Ahora Zorah Jillie Jury Sanshey et fille de Vogt Jury et Hanako Sanshey. Ah oui, la folle qui à crier ? C'est moi.
Ce matin-là, j'était, comme par habitude, levée en avance pour les cours, je me dépêcha toute même pour m'habiller, manger, faire mon sac, me coiffer (ce qui met largement 50 minutes), me laver les dents et à 7h45, quand les cours vont bientôt commencer, réveillé Ahora... D'ailleurs ce matin-là elle n'était pas de bonne humeur, mais par sa mauvaise habitude elle réveilla tout le quartier en gueulant "ON EST EN RETAAARD !"... Hé oui, vie dur c'est toujours comme ça chez moi. Je me plaint pas forcément ! J'ai la vie que rêve toute les adolescente de mon âge.
Arrivées au collège, nous entrons en classe je m'excusa au près du prof pour le retard et Ahora eue par bonne habitude, je devrais même dire mauvaise, de me pousser pour passer et dire "Wésh" à toute la classe. Pauvre moi quand même je me retrouve tout le temps couchée sur le sol de bon matin.
J'alla m'asseoir à ma place en soupirant et en espérant qu'Ahora ne se battent pas en cours cette fois. du moins pour le moment c'était pas gagner, elle se disputait déjà avec Lynna Inferno, une fille de notre âge, et de notre classe.. En plus elles se détestent !
Ce matin-là ? Voyons voir on a dû avoir trois crises de colère de Ahora en français, maths et art plastiques, deux combats, un avec la pauvre Lynna en français et un autre avec Vogt Heinkien j'ai du même à un moment tabassé Vogt vu qu'elle à osé faire pleurer Ahora... Ensuite il y a eu Lynna et Vogt qui on tapé Ahora dans la récréation et un blondinet qui me les cassent pour que je l'écoute, j'ai était forcée !
On était sous le marronnier du collège, quand d'un coup on à entendu un grognement.

?? : Bon soyons sérieux franchement, je suis Ryo Shirogane le créateur du projet mew mew. Ce sont des filles mi-humaines mi-animales qui doivent-
Moi : Se battrent ?
Ryo : Ouais voila, et tu vois Âme, t'es une mew mew.
Moi : Ah non j'crois pas. J'aime pas me battre déjà, t'as cas aller demander à Aho elle sera d'accord elle.

La il me montra un énorme monstre, il était trop mignon, dire quand même un petit T-rex avec des oreilles de chat et de chien et qui fait "Miaouf" ça on le vois pas tout le jours. Alors Ryo me donna une pierre, mais a quoi ça sert une pierre ? On peut m'expliquer ? Quand le T-rex-chien-chat a vu la pierre a deviner pourquoi il m'as attaquer.. De toute manière j'ai trouvé ça bizarre depuis le début, c'est vrai quoi, UN MONSTRE ! On est pas dans Martin Mystère ! On est dans la vraie vie.
A ce moment je ferma les yeux, me disant que ma vie était devenue un cauchemar puis je les rouvrit, mais je n'était plus pareille. J'avais une tenue bleue et noir avec une queue de chat blanche et des oreilles blanches, mes yeux étaient noirs et non plus bleus et mes cheveux était bleu et noir... C'est quoi ce DÉLIRE ?!! Je regarda le blondinet avec un air sérieux.

Moi : RYO ! Tu m'as fait quoi ?
Ryo : C'est pas moi ! C'est ton instinct de mew mew...
Moi : Tu vas me le payer !
Ryo : Dit les premiers mots qui te passent par la tête, c'est pas une demande c'est un ordre !
Moi : Déjà tu fais de ma vie un cauchemar ensuite tu me donne des ordres ? T'es pas possible. Mais bon.. Ailes de protection, poussière d'argent !

Je regarda le monstre qui poussa un grognement avant de disparaître, j'eue les larmes aux yeux à ce moment.. Je suis quoi maintenant.. Ma vie c'est un cauchemar ! Je me rapprocha du blondinet avant de....

Partie une- "Si seulement je ne m'était pas levée ce matin..."

Je le regarda, mon dieu il se prenais pour qui ?! Un "VLAMM" retentit dans la cour, la joue de Ryo était devenue rouge flash à cause du coup qu'il venais de se prendre. Ahora fut alertée et arriva. Elle me regarda puis regarda mes yeux. Je ressentit à ce moment une sensation étrange de déjà vu. Ahora recula, elle répétait sans cesse mon nom en chuchotant, elle fit un petit sourire puis me regarda.

<Moi-Ahora je..
Ahora-Non il y a pas de JE, de ou tu connait mon nom, sale monstre !>>

PV Ahora

Je sentit les larmes monter à mes yeux et se mettre à couler le long de mes joues, je n'admettait pas qu'un monstre fasse du mal à Âme ! Je l'aimais plus que tout je ne voulait pas la perdre à cause d'un imbécile de monstre !

PV Âme

<Moi-AHORA ! Arrête ton cinéma baka ! Si tu dit que j... Qu'elle est tout pour toi regarde au fond de ton coeur tu verras ou elle est !
Ahora-TAIT TOI ! Qu'est-ce que tu en sait toi ?! T'es une pure idiote, t'es un mosntre, je suis sur que tu es comme un robot, que tu n'as pas de sentiments !>>


Je le voyait, Ahora tenais à moi mais j'avais compris que je ne devais pas révélé mon identité mew mew. Je me tournit, laissant couler des larmes le long de mes joues. Je ressentit une forte aura derrière moi puis entendit une attaque qui fut contrée. Je regarda derrière moi... UN LUTIN ?! Mais mince à la fin c'est quoi c'te vie ?! On est pas dans Martin Mystère ! Je regarda le lutin par derrière puis le shoota, il tomba au sol puis se tournit vers moi avant de se lever.

<Moi-T'es qui ?! Et m'appelle pas chaton, LUTIN !
Dren-Je suis un CY-NI-CLON ! Cyniclon ! C'est pas dur ! Et je m'appelle Dren, CHATON.
Moi-T'es sérieux là ? Dren c'est un nom ? Et c'est quoi, un cyniclon ?
Dren-Bah c'est un extraterrestre venu de la planète cyniclonia pourquoi ?
Moi-T'en a d'ses question !
Ahora-VOUS VOUS TAISEZ OUI ?!
Dren & Moi-La ferme Ahora Zorah !>>

Ahora est cin.... Ahora ?! Qu'est ce que.. C'est une... Alors ce veut dire que ? Bordel mais c'est une mew mew ! C'est trop bizarre ! Sérieux d'jà l'autre mongol la y s'invente un nom, mais sérieux j'sent que le lutin là, C'EST UN TIMBRÉ TOTAL !
[Pas fini --']

"Asuna est la sœur jumelle de Sei d'origine Allemande, tout comme lui, elle a eu une enfance très difficile à cause de leur père et de ses amis qui venaient chez eux pour faire quelque chose que Asuna détestait le plus, bien qu'elle soit allemande, elle était aussi d'origine japonaise du côté de sa mère. Elle était comme une esclave et rien d'autre, mais dans le cas de son frère c'était bien pire qu'elle... Leur propre père violait son propre fils et Asuna ne pouvait rien faire pour venir en aide à son frère jumeau. De toute façon, il avait prévenu aux deux jumeaux de ne rien faire, aucune révolte, aucune fuite sinon il essayerait avec ses amis de les retrouver et de les tuer une bonne fois pour toute. Cela dit, la jeune fille remarqua de la haine à travers les yeux de son frère. C'était la même chose pour elle, elle sentit qu'il voulait le tuer mais était-ce une bonne idée ? Quand ils prirent tout les deux une très lourde décision. A la tombée de la nuit, les deux jumeaux tuèrent discrètement leur propre père en train de dormir sur son canapé comme à son habitude et partirent en courant de la maison sans laisser de trace. Bien sûr quelques jours plus tard, des flics avait découvert le corps de l'homme et suspectèrent alors les deux enfants qui avait disparu dans Tokyo puis se mirent à leur recherche. Pendant ce temps, Asuna a été séparé de son frère lors de la fuite et a repris le nom de famille de jeune fille de sa mère et se retrouve par hasard devant une sorte de café dont la couleur était de très mauvais goût. Quand soudain, une lumière surgit de nulle part et enveloppa la jeune fille qui été désorienté jusqu'au noir complet. Elle ouvrit les yeux quelques minutes plus tard, son frère était là près d'elle. Il était rassuré en voyant qu'elle n'avait rien, elle sentit aussi quelque chose dans sa main et quand elle l'ouvrit, elle découvrit un bijou avec un symbole en forme de coeur. D'où venait-il ? Mais surtout à quoi servait-il ? Et puis pourquoi Sei avait une étrange marque sur lui ? Elle n'était pas là avant ! Après ce jour, Sei était devenu étrange, même dire, gentil, trop gentil. Asuna en eu marre, il la saoulait, il voulais la résonné et la faire devenir "gentille", elle lui fit un câlin, lui demandant d'un air doux, ce fut son dernier câlin, elle lui attacha les mains dans le dos, lui donnant un coup de pied dans le ventre. Ses yeux était rouges, elle pleurais, elle ne voulais pas le tuer mais il l'en obligé, il ne serais qu'un poid en plus pour elle. Elle pris un fer chauffer à blanc, le marquant d'une trace, il hurla sous le choc, sa peau était marquée d'un "A" et d'un "S" suivit d'un "Forever". A.. S... Forever ? Asuna, Sei, forever... Ça voulais dire si peut de chose pour les autres, mais tant de choses pour elle. La haine et la peine se résumais en elle en ce moment. Avec son couteau, elle l'ouvrit en une petite plaie en bas de ventre, il ne criait pas, il souffrais mais ne voulais pas le montrer. Cela énerva Asuna qui rajouta du sel sur la plaie. Sei se mordit la lèvre au sang, sans un bruit. Asuna lui enfonça un coup dans la plaie, le tournant une fois, des morceaux de fer restant lorsqu'elle arracha le clou. Il hurla.

<<-IMBÉCILE ! Si tu n'avais pas changé à ce point je n'aurais pas eu à te tuer ! lui disait-elle.

Elle lui replanta le couteau dans le bas du ventre, le remontant vers son coeur, sans le retirer. Elle l'enfonça à son maximum puis le retira d'un coup sec, faisant lâcher des larmes à Sei qui lui répétait être désolé, qu'il allait redevenir comme avant. Un mot, elle lui disa un mot qu'elle n'avait jamais dit avant "Urusai".. Sei la regardais en pleurant, il ne pouvais pas s'arrêter. Elle lui planta le couteau dans le coeur, ses yeux redevenant bleu. Elle pris conscience qu'elle l'avait tué, il respirais faiblement.

<<-S...Sei.. Je.. Désolé je... Je ne voulais pas te faire de mal.. Reste avec moi Sei, me laisse pas seule.. Je t'aime Sei.. Ne meurt pas.. Lui disait-elle en pleurant.
<<-Ne t'en fait pas.. Pour.. Moi.. Asuna... Essaye de vi..vre seule... lui chuchota-t-il.
<<-Sei ! Non ! Ca m'est impossible ! Je.. Je mérite de mourir à ta place.. j'ai tuer notre père.. Et je.. Je t'ai tuer.. Tout est de ma faute.. Je.. Veut retourner dans le passé !!
<<-C'est.. Trop tard... Prend soin de toi.. Asuna...
<<-Sei !!! Mon frère... JE T'AIME RESTE AVEC MOI !!"

Malheureusement.. Il..Est mort.. Je n'ai rien pu faire..

"« A partir d’aujourd’hui, vous êtes mes serviteurs. »
Une voix à la fois douce et tranchante, chaleureuse et glacée. Un air tranquille, un regard ardent. Cette femme s’appelait Zéa. Cette femme était considèrée seigneur. Cette femme était magicienne. Cette femme était celle qui les avait invoqué, créer. Un jeune hybride avait la tête baissée, plaquée contre un mur, de courtes cheveux roses pâles dans les yeux.
« Non »
La voie claire de la jeune fille resonnait dans la pièce, elle avait redresser la tête après les nombreuses paroles de Zéa et s'était levée avec l'aide du mur. Zéa se trouva face à elle. Elle respirait fortement, ayant peur d’enfreindre les lois de Zéa qui, celle-ci, la gifla. Le bruit resonna comme sa voix raisonnait.
« Ne commence pas à jouer à ça avec moi Théola tu sais bien que je gagnerais, si tu tente une seconde fois de.. Je te tuerais compris ?! »
Théola ne bougea pas, ses yeux brillaient de chagrin mais ne montrant pas sa tristesse dans les yeux de Zéa. Les deux mots prononcés par Théola choquèrent les autres. "En rêve"... Elle avait dit "en rêve" à Zéa ! Théola plissa les yeux en rabaissant ses oreilles sur sa tête lorsqu'elle lui donna un coup dans le ventre. Zéa leva la tête de Théola jusqu'à l'avoir à deux centimètres de son visage.
« Ne me tente pas, ma belle Théola, je ne t'ai pas faite avec des gènes exactement comme je l'aurais voulu, mais si tu veut rester en vie tu as intéret à m'obéir, sinon tu souffrira d'une manière ou d'une autre. Que je te fasse souffrir par des baisers ou des caresses ou bien des coups de fouets ça m'importe, tant que tu m'écoute.. Mon ange. »
Après ses mots dit d'une voix extrêmement douce, Zéa effectua sa promesse, poussant Théola contre un mur pour qu'elle ne puisse bouger et l'embrassant. Théola s'asseya, a peine elle venait de "naître" qu'elle voulait déjà mourir. Elle resta longuement posée puis se replia sur elle même, sous les yeux de Zéa, la tête sur ses genoux, elle se mise à pleurer....

C'était ce jour qui marqua sa vie, et depuis, elle s'est enfuie et à continuer sa vie, Zéa la recherche, pour la faire souffrir et la torturer à cause de cela mais ne se rend pas compte de l'amour qu'elle éprouve pour "son ange". Théola reste rebelle malgré ses crises de larmes en repensant à Zéa..."

Introduction ; A 7 ans


Kiba prit la main de son ami et la serra au creux de la sienne. Ses joues rougies par le froid donnaient l’impression qu’elle était ivre. Ses yeux se baladaient de vitrines en vitrines, laissant sa bouche dessiner de grands sourires émerveillés. Innocents, jeunes et excités, deux enfants couraient dans la neige crasseuse. Alexandre, pareillement à elle, était serré dans un manteau qui recouvrait plusieurs couches de hauts. Des bottes rembourrées tenaient chaud aux deux enfants. Les fêtes hivernales avaient provoqué un embouteillage énorme dans les rues. La chaussée était pleine à craquer de voitures, bicyclettes et autres engins. Mais les deux amis étaient trop occupés à contempler les expositions des magasins de jouets depuis l’extérieur. Les joues collées aux glaces froides et sales, ils admiraient ces personnages en action qui déambulaient de ça et de là. La fillette commentait avidement tout ce qui se déroulait dans les scènes, son ami rigolant de ses boutades juvéniles.
Kiba était une jeune fille issue d’une famille modeste, et habitait dans une maisonnette à l’extrémité de la ville. Alexandre, lui, habitait à quelques rues d’elle, et descendait également de gens modestes. Tous deux étaient amis depuis plusieurs années, bien qu’ils ne soient pas bien âgés. Nés à deux mois d’intervalle exactement, les deux enfants avaient tendance à se faire passer pour des jumeaux. Bien que Kiba soit châtain et lui brun, qu’ils n’aient pas la même corpulence et un visage assez différent, il leur plaisait d’être comme frère et sœur. Ce qu’ils étaient, avouons-le, si nous prenions en compte le cœur. Ils faisaient absolument tout ensemble. Ils jouaient, discutaient, s’invitaient sans arrêt. A l’école, étant dans la même classe, ils adoraient jouer des tours à leur professeur. Leurs caractères se complétaient tout en se ressemblant. Lui était plus calme, réservé et raisonné, elle plus franche, impulsive et bagarreuse.
A deux jours de Noël, la fête sacrée de la période hivernale, les deux gamins déambulaient dans les grandes avenues, à la recherche de jouets à demander pour le prochain vingt-cinq décembre. Il se faisait tard, la nuit était déjà tombée sur la ville depuis un moment, et d’un grand nombre de bâtiments s’échappaient des lumières qui éclairaient suffisamment d’elles-mêmes la ville. Doucement, Kiba tourna son visage rougit et légèrement paralysé vers son ami, ses grands yeux pétillant. Son cerveau songeait au traîneau rempli de paquets joliment emballés, tiré par des Cerfrousse au nez rouge.

Kiba- Alexandre… Tu as commandé quoi pour Noël ?
Alexandre- … Je ne sais plus trop. J’ai demandé un cadeau spécial. Un cadeau que je n’ai le droit de dire à personne.
Kiba- Même pas à moi ? Pourtant… Tu me dis tout, d’habitude ! Allez, après tout, je le saurais bien un jour, puisque le père Noël va te ramener ton cadeau.
Alexandre- J’ai demandé… Que nous restions amis pour toujours, peu importe ce qu’il arrivera. Tu me le promets, toi aussi ? Il ne faut pas simplement que le Père Noël me dise oui, je veux que tu sois d’accord !
Kiba- Evidemment que je suis d’accord ! Nous sommes amis pour la vie. De toute manière même si le Père Noël n’est pas d’accord, je resterais toujours ton amie ! Et jamais autre chose.

Un silence de mort s’installa entre les deux enfants. Chacun fixait les yeux de l’autre, une intense réflexion se formant dans chacune des deux têtes. Ils en étaient certains, ils resteraient amis pendant longtemps. Le plus longtemps qu’ils le pourraient. Pour casser cette atmosphère troublante, Esfir ajouta qu’il fallait qu’elle rentre pour ne pas réveiller la colère de ses parents. Alexandre appuya ce qu’elle venait de dire, et dans la nuit de la ville, deux soirs avant Noël, les deux enfants reprirent leur route dans la neige sale.

Chapitre 1 ; Amitié

Doucement, Kiba caressa le petit objet rond qui se trouvait sur ses genoux. C'était une peluche ronde ressemblant à un chat, le cadeau que lui avait offert son ami. Assise au bout de son lit, les pieds nus au-dessus de la moquette bleue, le visage rivé vers ses orteils, la fillette respirait doucement. Une légère lumière tamisée produite par la lune perçait la fenêtre et éclairait en partie la pièce. Etant étrangement vide pour une chambre d’enfant, on pouvait entendre chaque bruit retentir sur les murs dégagés. La petite fille tourna son visage vers la fenêtre. Son visage était masqué par la noirceur de la nuit, il était impossible de lire son expression. Seul le bas de son menton et une partie de ses joues étaient visibles.
Noël était passé. Dans le silence profond de la pièce, un sanglot retentit dans un bruit feutré. Kiba était encore assise sur son lit, le visage dans les mains, de grosses gouttes perlant de ses doigts recroquevillés. Ce jour-là, elle s’était disputée avec celui qu’elle considérait comme un frère. Ils avaient passé chacun la soirée dans leur coin, seuls. La famille de la jeune fille étant absente, elle était absolument seule dans la maison. Son pyjama reçu l’eau salée et se fonça aux endroits où les larmes s’écrasaient. Le dos de Kiba se soulevait par à coup, d’une manière saccadée. Le reste de son corps tremblait. C’était un décembre qu’elle voulait passer avec lui. Ils avaient grandi, certes, ils ne bavaient plus devant les vitrines à quelques jours de Noël, mais ce jour-ci, leur balade dans la neige avait mal tourné. Kiba s’était emportée et regrettait désormais amèrement. Elle avait peur de l’avoir définitivement perdu.

Le soleil perça par la vitre, et Kiba se leva en sursaut. Son cœur s’envola lorsqu’à côté d’elle elle vit Alexandre, le dos tourné vers elle, la tête baissée vers ses pieds à lui. Il la tourna doucement vers elle, et son visage apparu comme de marbre. La fillette se releva avec l’aide de ses coudes et fixa un long moment son ami. Il faisait de même. Et elle plongea sur lui, le serra contre elle, enlaçant ses épaules. Encore une fois, des larmes se dessinèrent dans le creux de ses yeux. Alexandre sourit sincèrement, bien qu’elle ne puisse pas le voir, et la serra aussi contre lui. Dans cette situation, les mots n’étaient plus utiles. Les lèvres de Kiba formulèrent un pardon étranglé, que son ami fit taire en la lâchant doucement. Les yeux de la jeune fille étaient vitreux, mais un sourire trahissait son soulagement.

« Kiba-Je ne veux plus te perdre. Plus jamais.
Alexandre-Ne t’inquiète pas. Ça n’arrivera plus. Nous sommes amis pour la vie. »

Chapitre 2 ; Le mensonge

Alexandre frappa à la porte de Kiba. Elle lui ouvrit, un peu triste. En le voyant le sourire lui montra au lèvres, elle lui sautais dessus. Il était légérement choqué, mais la trouvais "magnifique". Deux marques rouges était à présent visible sur ses joues. Mais ces formes de croc intriguais Alexandre. Il savais que Inuzukakiba (collé) voulais dire croc, mais à ce point ? Ils frôlaient les treize ans. Mais déjà bien avancé mentalement. Il était un peu fou, elle était plus mature que lui.
Lorsqu'ils sortirent en ville, il la regarda. Sa meilleure amie.. Elle ne le savais pas.. Il lui mentais, ou plutôt, il allait lui mentir, pour l'avoir proche de lui. Il chuchota quelque chose d'illégal lorsqu'on est meilleurs amis...

« Alexandre-Je t'aime Kiba. »

Elle le savais, l'amitié c'est le sentiment le plus fort qu'elle avait, pour lui. Mais derrière ça se cacher une partie d'amour qu'elle tentais d'oublier... Elle lui répondit qu'elle s'avais, qu'ils était meilleurs amis, et c'était pour toujours. Lorsqu'il lui fit non de la tête, Kiba se mise rougir, elle venais de comprendre. Mais était-ce possible ? Non. Il lui mentais, mais elle oubliais le fait qu'il pouvais, elle l'oubliais, lorsqu'il lui fit un léger baiser sur les lèvres.

Chapitre 3 ; Trahison

Kiba était seule chez elle, elle avait perdu Alexandre de vu et ne voyais pas ou il se trouvais, il s'avère qu'elle alla chez lui, sans même toquer, ouvra la porte, elle le vu, avec une fille dans ses bras qui venais de lui dire "Je t'aime aussi"... Kiba eu les larmes aux yeux, Alexandre l'aperçu. Se levant rapidement, il courut vers elle, Kiba laissait couler des larmes sur ses joues, lui faisait non de la tête, elle se retourna et pris le chemin de chez elle en courant.

« Alexandre-KIBA ! C'est pas ce que tu crois.. REVIENS !! »

Elle se stoppa, le regardant puis observa cette fille derrière lui. Elle lui fit un bras d'honneur, voulant lui dire que plus jamais elle ne lui parlerais, sauf pour le renvoyer balader. Elle se disait qu'elle n'aurais pas du lui faire confiance. Tsume, la mère de Kiba, ne la revoya pas pendant des heures. Décidée, elle alla la voir dans sa chambre. Kiba était en pleurs, elle n'arrêtais pas. Cela faisait sept heures qu'elle l'avais vu, ça faisait également sept heures qu'elle pleurais. Tsume pris sa fille dans ses bras, la calmant, et lui demanda ce qu'il n'allait pas.

« Kiba-Alexandre.. C'est un menteur, un traître, il m'a mentit..
Mère de Kiba-Je croyais que vous étiez amis ?
Kiba-Petit.. Petit ami maman.. C'est..
Mère de Kiba-Qu'est-ce qu'il a fait ?
Kiba-Il a jouer avec mes sentiments... »

Chapitre 5 ; Engueulade

Le jour de ses dix-sept ans, Kiba décida de retourner voir Alexandre, peut être s'excuser si il était plus avec elle. Elle regardais pas la fenêtre de chez lui. Ses yeux s'écarquillèrent. Elle tomba à genoux, elle était toujours là, elle les avait vu s'embrasser.. Quelques minutes après, elle avait repris ses esprits, mais elle était tout de même choquée. Elle toqua doucement à la porte d'Alexandre qui vint lui ouvrir. Il cligna des yeux plusieurs fois d’affilée avant de dire son nom, comme une question. Elle hocha la tête, baissant les yeux.

« Kiba-Je voulais venir m'excuser.. Mais seulement si t'était plus avec celle là ! Franchement... Ça fait cinq ans.. Cinq ans que je pense TOUT LES JOURS à toi, tu t'en es pas douté ?
Alexandre-Ne reste pas dehors, entre il fait froid... »

Le début de la soirée se passa bien, il présenta Kiba à sa petite amie, Enalinda Jones. Elle était blonde aux yeux verrons bleu et vert. Elle avait un beau sourire et c'était vrai que c'était le genre d'Alexandre. Au bout d'un moment, Kiba en eu marre de la voir l'embrasser, ça lui brisais le coeur. Elle se leva donc en trainant sa chaise puis se tourna vers la porte d'entrée. Alexandre la retenu. Lui disant de rester. Elle se retourna brusquement. Enalinda fut choquée, tout comme Alexandre. Kiba l'avait gifler..

« Kiba-Alexandre.
Alexandre-Quoi ?
Kiba-T'as pas encore compris depuis CINQ ANS ! Mais t'es idiot ou tu le fais exprès ?! Depuis que tu m'as dit que tu m'aimais, les sentiments que j'avais au fond de moi, l'amour que j'avais pour toi, tout ça est ressortit. Alexandre.. Je t'aime ça je pense que tu l'as pas compris.
Alexandre-Je voit, j'aurais pas du essayer de te garder avec moi alors ?!
Kiba-Si c'est ÇA que tu voulais faire, hé bien c'est raté, félicitation en plus de perdre une amie tu as perdu ta meilleure amie !
Alexandre-Mais.. KIBA ! Je t'aimais PAS ! Tu l'a pas encore compris ?! J'essayer de rester avec toi pour toujours mais c'est toi qui a gacher, si t'avais toquer t'aurais pas eu à subir ça. »

Kiba écarquilla les yeux, Enalinda était choquée et sa famille était énervée. Alexandre se pris également une claque par Enalinda qui lui dit que si c'était pour lui faire ça elle préférais partir. Sa famille ne disait rien.

« ENALINDA ! Je t'aime... »

Kiba eu les larmes aux yeux, elle baissait la tête, ce n'était pas des larmes d'amours, mais des larmes de tristesses, de rage. Elle se mise à genoux, laissant couler les larmes.

« Kiba-Je.. Je croyais que nous deux s'était pour toujours.. Tu m'as mentit, tu m'as trahit..
Alexandre-Non.. Kiba ne dit pas ça..
Kiba-Pourtant c'est ce que tu as fait... Tu as jouer avec mes sentiments, je ne pourrais jamais te..-
Alexandre-Dit pas ça Kiba !
Kiba-Te le...
Alexandre-Je t'en supplie, je suis désolé..
Kiba-JE POURRAIS JAMAIS TE PARDONNER !
Alexandre-Mais.. Kiba je..
Kiba-Je t'aimais, moi, t'était tout ce que j'avais de plus cher au monde, et en plus tu me ment, mais tu te prend pour dieu ou quoi ?! Pour de prouver mon amour, tu vois cette façade. "Le bout du monde" Je vais passer par dessus. Pour toi.. On ne se reverra jamais mais au moins tu le verras..
Alexandre-Quoi ?! Mais t'es folle bon sang ! Kiba reprend tes esprits !
Kiba-La ferme ! »

Kiba le tira vers cette façade, elle était gigantesque. Elle la traversa en plusieurs heures. Après elle entendit Alexandre lui crier de revenir, elle lui répondit un "Je t'aime". Elle finit par entendre un "Moi aussi" mais ne retraversa pas la façade, elle attendrais, comme lui l'a fait attendre.

« – Fais vite… Viens vite… Je ne vais pas pouvoir me retenir plus longtemps.» murmurait Sourire d’Été, avec peine. La belle chatte était d’un beau poil long et coloré d’un beige illuminé, comme les épis de blé séjournant dans les champs. Cette beauté accompagnée de magnifiques yeux couleur olive, malheureusement à ce moment précis rempli de larme. La douleur l’empêchait de bien respirer. Mais elle essayer de tenir le coup. Elle devait l’attendre. Elle ne pouvait pas mettre au monde ses petits tant que son bien aimé n’était pas là. Stresse et empressement. Il fallait qu’il soit là. Elle ne pouvait pas commencer sans lui. Pourtant, elle devint tellement fatiguée et désespérée qu’elle dû débuter sans lui. Des miaulements de douleur se faisaient entendre à l’autre bout de la lisière où elle s’était posée. Sang, cris et larmes. Alors qu’elle commençait à abandonner sous la souffrance, un mâle au pelage sombre vint se poser à côté d’elle, de façon à ce que leurs poils se mélangent. Il pressa son museau sur le coup de la femelle puis le lécha le museau. Elle ne sentait plus la douleur, elle ne sentait plus que Prince des Ombres à ses cotés, l’aidant comme il pouvait. Sa respiration était courte. Elle voulait parler mais n’y arrivait pas. Le remercier, lui dire je t’aime, puis lui parler des noms qu’elles donneraient à ses enfants. Des petits miaulements aigus résonnèrent alors dans la clairière. Le premier était là, les yeux fermés, le corps faible et fragile. Sourire d’Été le prit entre ses pattes et lui fit sa première toilette. Son pelage était un mélange de noir et de blanc, ses yeux lui étaient encore inconnus. La jeune mère reprit alors son travail, sous les regards encourageants de son bien-aimé. Elle respirait difficilement. Elle perdait beaucoup de sang. Le premier avait vraiment été un lourd travail, le deuxième serait-il bien plus simple ou pire ? Elle regrettait de penser comme ça mais c’était la dure réalité. Alors qu’elle travaillait et travaillait de toutes ses forces, ses yeux commencèrent à perdre la lumière. Elle ne se demandait pas pourquoi, elle devait juste donner naissance à son petit. Pourtant elle avait un regard vitreux, vide. Comme si elle n’avait plus le pouvoir de guider ses yeux. Puis un cri de soulagement. Prince des Ombres emportait le deuxième chaton dans les pattes de sa mère. Elle ne le voyait pas, mais sentait son petit corps bouillant contre le sien. Les larmes coulèrent sans qu’elle ne s’en aperçoive, mais elle commença rapidement la toilette de son deuxième fils.

« – Prince, je suis désolée… murmura-t-elle, essoufflée, à bout de force.
– Qu’y a-t-il mon amour ? demanda-t-il, les larmes aux yeux en voyant l’état de sa bien-aimée.
– Merci pour tout… Je t’aime tant, Prince. Tout ce que je te demande à présent, c’est qu’ils s’appellent Petit Campagnol et Petit Chemin… dit-elle avec peine.
– Sourire d’Été ? Répond-moi ! Mon amour ! Reste ! S’il te plaît, je ne saurais quoi faire sans toi !
– Je t’aimerais toujours Prince. Prends soin des petits, au revoir mon prince… dit-elle d’une voix presque absente, dans son dernier souffle.
– Sourire d’Été ! NON ! Reviens ! Sourire d’Été ! » cria-t-il, faisant de ses pleurs de véritables échos. Les larmes ne se comptaient plus. Le sang de sa bien-aimée, étendu sur le sol, commençait à s’encrer dans son pelage sombre. Le mâle la pleurait, la criait, la priait. Les petits étaient toujours dans les pattes de la femelle. Ils baignaient dans le liquide rouge de leur mère. Un jour censé être magnifique était devenu le plus horrible qu’il ait pu vivre. Il plongea son museau dans le pelage doux mais maintenant sali de Sourire d’Été, et resta là, pendant des heures, oubliant les petits. Eux essayaient tant bien que mal de trouver du lait, vous savez, ce lait que tout chaton a le droit de déguster à la naissance. Ils en étaient privés. Et pendant les heures où leur père souffrait sur le corps de son amour, l’un d’eux, trop maigre pour continuer à vivre dans ces conditions lâcha un petit soupir, puis s’endormit à jamais. Seul Petit Campagnol, le petit mâle noir et blanc, déjà attaché à son frère essayait de le réanimer, poussant le corps inerte avec son museau, et le priant de revenir avec de petits miaulements aigus. Le pauvre nouveau-né, déjà désespéré après seulement quelques heures de vies s’endormit à son tour, laissant Prince des Ombres seul dans le monde réel.

Le jeune père sursauta alors après avoir entendu un bruit étrange provenant des buissons. Il scruta les alentours. Cela n’était un lapin qui passait par là. Le matou secoua la tête. Pour lui, les larmes n’existaient plus. Ils les avaient toutes déversées dans le pelage de Sourire d’Été. Il prit alors les deux petits à ses cotés, commençant leur toilette, leurs poils étant plein de sang. Il commença par l’aîné, Petit Campagnol. Sous les coups de langues de son père, le chaton se réveilla, puis, mort de faim se mit à miauler bruyamment. Le père le laissa crier, puis pris son deuxième fils, Petit Chemin. Il commença la toilette, jusqu’à remarquer quelque chose qu’il n’aurait jamais voulu voir. Son petit ne respirait plus. Son corps était maintenant comme celui d’une poupée de porcelaine. Froid et fragile. Les yeux du père s’écarquillèrent. Pendant qu’il pleurait toutes les larmes de son corps pour sa bien-aimée, son petit, trop faible, avait perdu la vie. Il s’en voulu. Il voulait pleurer. Mais cela n’était plus possible. D’un geste lent et mou et se leva alors, puis commença à creuser à l’aide de ses pattes. Creuser, creuser la tombe de celle qu’il aime et de son fils. Petit Campagnol, peinant à marcher, vint alors vers lui, puis se colla à lui. Le petit chaton s’était tu. Prince des Ombres ne comprenait pas, mais accepta le geste d’affection du petit. Il enterra alors les êtres qu’il chérissait et qu’il voulait chérir, puis, le survivant dans la bouche, parti en direction du camp, effondré.

« – Peux-tu me rendre un service ? C’est important, s’il te plaît. Supplia-t-il.
– Ce serait un plaisir mon grand, dit moi ce que ne va pas, et ce que je peux faire pour toi. Dit Brise des Champs.
– J’ai perdu Sourire d’Été et Petit Chemin. Je ne serais jamais capable de rendre ce petit heureux. S’il te plaît, prend-le dans ta portée, occupe-toi de lui comme ton fils, je ne peux rien faire en tant que mâle.
– Je suis désolée pour Sourire d’Été et Petit Chemin… Oui, je vais prendre ton petit, si cela est ton souhait. Tu as raison c’est bien mieux pour lui. Mais toi, que vas-tu faire, mon pauvre ami ? répondit-elle, les larmes aux yeux après avoir appris la mort de son amie Sourire d’Été.
– Je vais partir. Dis aux autres que je suis mort. Et fais disparaître mon nom de cet endroit. S’il te plaît, fais que mon fils soit heureux.
– Ce n’est pas une tâche bien facile que tu me donnes, mais j’essaierai. Tu peux compter sur moi. Adieu mon ami.
– Adieu Brise des Champs. Adieu. » dit-il dans un dernier regard sur son fils. Voilà. Il partait. Il s’enfuyait. Il ne savait même pas où il allait, mais tout ce qu’il voulait c’était partir loin. Il regarda alors une dernière fois le crépuscule tombant sur le camp, puis disparu. Ce qu’il fit en dernier, en sortant de sa terre natale, c’est prier pour que son fils ne vive pas les mêmes malheurs que lui, et qu’il soit heureux. Petit Campagnol devait être quelqu’un qui aurait le cœur d’être fier de son père. Allait-ce être possible ?

« – Mwahaha ! Vous ne pouvez rien contre moi ! Ici, c’est MOI le chef ! » s’écria le petit chaton, regardant dans le vide. Il se dandinait devant un public invisible. À travers ses yeux pourtant, on pouvait voir un trio de gros matous noirs, à terre. Est-ce qu’ils étaient morts ? Est-ce qu’ils s’inclinaient ? Seul le chaton le savait. Il donna alors un coup de griffe au vent. Puis plusieurs. Il se roulait par terre et feulait comme si un autre chat lui faisait face. Alors il se retrouva debout, fixant le sol. Il se pencha près de l’herbe, puis murmura que c’est lui qui avait gagné. Alors qu’il triomphait dans son petit monde, comme étant le grand Petit Campagnol, un appel l’empêcha de mettre K.O son nouvel adversaire.

« – Petit Campagnol ! C’est l’heure de la toilette ! Viens tout de suite dans la pouponnière ! criait Fleur des Champs.
– J’arrive, ma belle demoiselle en détresse ! s’écria-t-il, se précipitant vers le nid après avoir donné un dernier coup de patte au vent. Ton preux chevalier est arrivé ! » Sans qu’il ait le temps de ressortir une autre phrase dans le genre, la reine le prit entre ses pattes pour lui faire sa petite toilette matinale. Il ne se débattait pas. Il prenait cela pour une récompense après avoir terrasser l’ennemi. Sa vie imaginaire était passionnante. C’était un héro. Oui, un héro comme il rêvait d’être dans le monde réel. Quelqu’un qui serait capable de tout accepter. Quelqu’un doté d’une gentillesse sans faille. Et surtout quelqu’un qui, face à la vérité pourrait tout pardonner…

Chapitre 1 : I love a Criminal


L'amour, ce sentiment que l'on ressent, de vie à mort, celui là nous gâche la vie. Il existe pour tout le monde, forcément.. Même pour les animaux. J'ai ressenti ce sentiment, ce sentiment qui m'a trahit. Je m'appelle Etoile Mélodieuse, et voici mon histoire.

J'ai longtemps eu des sentiments cachés au fond de mon coeur, pour lui. Personne ne s'en doutait, je cachais bien mon jeu. Mais un jour, tout à basculer... J'était avec Larme de feu, il me disait à quel point il tenais à moi, mon meilleur ami, je lui cachais cette grande affection que je nomme l'amour. Mais bien avant cela, je commença à vivre. Ce fut ma mère qui me nomma Patte de Mélodie. Bien. Revenons à ce moment. J'ai dépassé mes limites, même sans bégayer, je n'était pas de ce genre. Ces deux mots qui changent une vie, "Je t'aime" il suffisait de prononcer cela pour gâcher une vie. Je n'en savais rien. Ces mots sont sortit de ma bouche. Il était muet, il ne disait plus rien pratiquement depuis ce jour. Lui qui avait toujours tant de choses à me raconter. On termina ensemble, notre amour était bien plus fort que tout, plus fort que la mort.. Mais je ne pouvais pas l'empêcher d'être ce qu'il était, un criminel. Il vagabondais tout les jours, tuait des personnes d'autres clans. Mais que dire ? Mais fallait-il quand même y réfléchir ? Ou bien foncer-dans-le-tas-tête-baissé-guidée-par-l-amour ? Je devais lui dire.. Arrête de tuer... Je devais y réfléchir... Me dire que finalement je ne l'aimais pas tant que ça... Ne pas foncer dans le tas.. Risque de blessures causée par la guerre... Il tuais, tuais, tuais.. Le clan de l'ombre, presque entièrement éliminer par sa faute, la rivière, le vent.. Et le sang.. Il avait tuer ma mère... Mais j'était aveugle, j'était aveugle d'amour pour lui. On passait tout notre temps ensemble.
Il n'avais pas l'air d'un tueur. Loin de ça. Mais un jour.. Je remarqua qu'il avait deux personnalités.. Il était proche d'une de ses victime, son pelage noir était couvert de rouge du sang. Je m'approchais de lui, de sa victime au pelage teinté de sang, un pauvre chaton blanc du clan de la rivière. Mais qu'avait-il fait pour mériter ça ? Je le lui demanda "Que t'as t-il fait ? Pourquoi est-ce que tu tue ?! Arrête ça !" Il se retournais, ses yeux était bleus pures d'habitude, mais inexplicablement, ils était rouges, rouge de la couleur du pelage de ce pauvre chaton blanc mort. Il s'approchais de moi, un regard doux lui traversa les yeux mais repartit d'aussitôt, avait cet air de tueur, je ne le reconnaissait pas. Il m'avait projeter contre un arbre d'un coup de patte. Je ne lui en voulais pas, je l'aimais, plus que tout, quoi qu'il sois. Ce jour-là, le sang giclait, les miaulements retentissais, les crocs mordaient, les griffes griffaient.. Rectification.. Mon sang giclait, mes miaulements retentissaient, ses crocs mordaient, ses griffes griffaient.. Ce jour-là, c'était le jour ou il manqua de me tuer. Mais moi, aveuglée par l'amour, je ne m'éloigna pas de lui. Lorsqu'il repris ses esprit, il avait l'air triste, désespérer. Il voulais qu'on s'éloigne.

« -Hors de question ! Je ne veut pas m'éloigner de toi. Larme de feu, je t'aime, quoi que tu sois, même si tu me tue, je saurais que tu m'as aimer, je me fiche de ce que tu peut faire de moi, tu es le seul que j'aime, sans toi, je ne peut même pas survivre !
-Mélo ! Reprend des mots dans ta bouche arrête de dire des bêtises. J'ai manquer de te tuer aujourd'hui, si je te tue un jour je m'en voudrais toute ma vie, alors franchement, si tu n'es pas aveugler par cette crotte de chat d'amour, par l'amour de dieu, dégage. Reviens plus vers moi, je ne te mérite pas, je mérite même pas de vivre bordel ! »


Chapitre 2 : A fight, a death


La mort, un moment par quoi passe tout le monde. Et dire qu'il y est passer.. Mais c'était bien pour me sauver...

JE T'AIME...
Les deux derniers mots que j'ai entendu de sa part... Il faut dire, ce n'a pas était de mon plus grand sourire qu'il a pousser son dernier souffle. Je vous explique en détail. Je souffrais, après ces mots, je fut partit vers la ville bipède. M'éloigner de lui, la seule façon : Mourir. Dans la forêt, je rencontrit l'un de ses êtres. Ce bipède avait de long cheveux noir, bouclé, ils était brillants et avait l'air aussi doux que le pelage d'un chat. Ses yeux abordais le vert turquoise, sa peau était semblable à l'ivoire. Ce bipède ressemblait à une femme, sa voix douce me le prouvais. Mais cet engin dans ses mains ?! Un fusil. Elle me visait, elle n'allait pas me rater. Et moi, comme une idiote, je m'arrêta. Elle tira mais soudain... Un éclair noir passa devant moi, un trait rouge tomba au sol et cet éclair tomba plus loin. Le trait.. Du sang.. L'éclair ? Larme de Feu... Les animaux ont des sentiments, les animaux peuvent pleurer. Mes yeux étaient entièrement remplis de larmes. Mes yeux verrons, violet/jaune.. Mais, qu'est-ce qu'il m'était passé par la tête ? La bipède releva la tête de sur son engin, m'observant aller vers lui. Je lui bougeais la patte avec mon nez, il respirais. Sa blessure était grave, aucun guérriseur n'était dans le coin. Je l'accompagnais sur son lit de mort. Pourquoi lui ? Mon coeur se brisais... Il me chuchota quelques choses que la bipède, même en miaulement, compris. Elle rabaissa son arme, baissait la tête en signe d'adieu puis s'approcha de moi. "Je suis désolé, je veut rester près de toi" m'avait-il dit. Et la bipède tenta de m’attraper. Je la mordit au sang en grognant. Elle recula vivement sa main, sortant une bande de son sac et s'enroulant la main dedans.


Chapitre 3 : I would learn to live without it


Quand il hurlais, je l'aidais à effacer ses peurs, j'essuyais ses larmes, j'exécuter ses peines, je lui donnais tout mon amour. Mais aucune des ses choses je ne peut les refaire à présent. j'apprend à vivre sans lui.

Je me suis enfuie, très loin, au clan du sang. j'en suis à présent la chef, mais ceci est une histoire qu'il reste à écrire. Mon passé n'a pas de sourire, ou quelques uns, il n'a pas d'yeux, il n'a pas de visage. Que de blessures, de pleurs, de fugues, de meurtres, de sang... Je haïssait mon présent, maintenant, je haït mon passé...

Je m'appelle Athéna. Enfin, je m’appelais. Nous sommes en 2019, je suis plus avec ma famille chez moi, bien au chaud à faire des câlins. Je suis dans le long couloir de la mort, observant toute ma vie. Ma vie est celle que je raconte en ce moment, oubliant tout mes regrets, pour voir ma vie comme si elle passer à la télé...


J'était assise dans la cours de mon ancienne maison. J'était avec tout mes frères et soeurs, ma mère et mon père étaient à l’intérieur de cette immense maison et une voiture s'arrêta devant la maison, tout le monde courut de partout, on avait une frousse des voitures. Une jeune fille et une adulte sortirent de cet engin. La petite était brune aux yeux bruns et l'adulte avait les cheveux d'une couleur étrange et les yeux bleus. La petite fille sauta sur un de mes frères, elle le caressa puis alla voir un des chiens blanc. Elle criait "Maman ! Maman ! On prend celui lààà !". L'adulte hocha négativement la tête. Notre maître annonça qu'il nous donnais, nous, les chats ! La petite pris mon frère et cria la même chose qu'avant. L'adulte me montra et lui répondit "va me chercher celui là Morgane." elle courut vers moi. Je fonça me planquer dans un trou de garage. Elle m'avait attraper la patte arrière et me tira vers elle.

"-Vous avez choisit la seule fille, prenez sois d'elle. Ajouta mon maître.
-Oui ! On prendra soin de toi... Euh... ? Répondit la jeune fille.
-Athéna. ajouta l'adulte."

Ils me mirent dans cet engin, je miaula miaula de toute mes forces. Mes frères couraient après l'engin pour me récupérer mais la brune me tenais...

ATHENAAAA !
ATHENA : Ouiiiii ?
T'as un compliment !
ATHENA : Quoiiiii ?!
Euh bah... Je sais plus Owo'
ATHENA : Sale toto vas UwU
Hé mais prend pas tes nailes... Un chat qui vole ? Waaaah ! OwO
ATHENA : Oh-mon-dieu-je-vais-rirmou --'
Wesh toi ssiho tu lepar le verlant ?*
ATHENA : What the problem ?!
Non rien UwU

*Wesh toi aussi tu parle à l'envers

J'veux qu'tu sache qu'j'essaye d'te plaire
mais mes efforts on dirais d'la poussière.
Je t'ai aimer et crois moi j'sais même pas
si j't'aime encore quoi.
Faut pas jouer avec moi,
Je me suis beaucoup trop accrochée à toi.
Mais bon sang ouvre tes yeux,
j'ai pas remarquer que pour moi, il y avais mieu.

Crois moi je t'aime comme ça
C'est qu'y'a un truc en toi
Crois moi si j't'aime comme ça
C'est qu't'as un truc pour moi.

J'ai t'jours pas compris pourquoi
Pourquoi y'a que vers toi
que je tourne la tête
C'est peut être dans mon être
En tout cas crois moi qu't'as blesser mon âme
Et crois moi qu't'as fait couler des larmes.
J'ai voulu t'croire quand tu disais
Que tu n'm'aimer.

Crois moi je t'aime comme ça
C'est qu'y'a un truc en toi
Crois moi si j't'aime comme ça
C'est qu't'as un truc pour moi

J'ai essayer de t'oublier,
Mais quand tu me regarder j'arrivais pas à plus t'aimer.
Tu ne veux pas que je t'aime,
C'est sûr toi tu préfère la haine.
Ta beauté extérieur m'a attirée,
Mais ta beauté intérieur m'a enfermée.

C'est toi qui n'est pas facile,
Dire je t'aime c'est pas difficile.
Saches que le plus compliqué,
C'est que les sentiments soient vrai.
C'est toi qui n'est pas facile,
Dire je t'aime c'est pas difficile.
Mais ce qui est très compliqué,
c'est de ne pas me faire pleurer.

Je n'suis pas de ton goût, ok,
Saches que j'suis pas un chien j'vais pas changer.
J'sais bien qu'y'a mieux pour moi,
J'ai juste fixé mon regard sur toi.
J'ai juste envie de t'avouer,
que pour toi j'ai fait que pleurer.
J'écoute cette musique, cette triste histoire,
De cette fille qui restait silencieuse malgré son désespoir.

C'est toi qui n'est pas facile,
Dire je t'aime c'est pas difficile.
Saches que le plus compliqué,
C'est que les sentiments soient vrai.
C'est toi qui n'est pas facile,
Dire je t'aime c'est pas difficile.
Mais ce qui est très compliqué,
c'est de ne pas me faire pleurer.

Ce que je souhaite c'est penser qu'on peut être heureuse,
Arrêter d'être malheureuse, en étant amoureuse.
Je t'oublierais jamais juste pour ce que tu m'as fait,
Mon coeur a pleuré plus que mes yeux l'on fait.
Tu ne vois pas mon visage, ni même cette saleté de reflet,
Tu n'as jamais vu mon visage, quand à cause de toi j'ai pleuré.
Je n'arrive pas à imaginer, ce que sans toi ça serais,
J'arrive même pas à penser, si sans toi autant j'aurais pleuré.

C'est toi qui n'est pas facile,
Dire je t'aime c'est pas difficile.
Saches que le plus compliqué,
C'est que les sentiments soient vrai.
C'est toi qui n'est pas facile,
Dire je t'aime c'est pas difficile.
Mais ce qui est très compliqué,
c'est de ne pas me faire pleurer.

Ton nom tu le connais bien Jesse,
Sans ton avis, sans mon passé,
Dit toi qu'jamais,
Pour toi j'aurais pleurer.
Juste ce geste que tu m'as fait,
Ces sourires que tu m'as adressé.
Ces regards que sur moi tu as posé,
C'est cela qui m'as fait pleurer.

C'est toi qui n'est pas facile,
Dire je t'aime c'est pas difficile.
Saches que le plus compliqué,
C'est que les sentiments soient vrai.
C'est toi qui n'est pas facile,
Dire je t'aime c'est pas difficile.
Mais ce qui est très compliqué,
c'est de ne pas me faire pleurer.

C'est toi qui n'est pas facile,
Dire je t'aime c'est pas difficile.
Saches que le plus compliqué,
C'est que les sentiments soient vrai.
C'est toi qui n'est pas facile,
Dire je t'aime c'est pas difficile.
Mais ce qui est très compliqué,
c'est de ne pas me faire pleurer.

En pensant à Louis, j'eu soudain mal au ventre. Louis était là, près de moi et Zayn et pourtant celui-ci prolongeait toujours le baiser. Un soupir, des bruits de pas qui s'éloignent, je les entendis. Zayn mis ses mains dans mon dos. Ses mains étaient chaudes, il avait la peau douce. Il stoppa doucement notre baiser, il n'était pour une fois pas violent. Mais qu'est-ce que je raconte ? Zayn pas violent c'était littéralement impossible. Il me reposa à terre, je ne voulais pas arrêter ses baisers, loin de là, mais je n'en voulais pas de Zayn, c'était ça le problème. Je regardait le pakistanais attentivement, celui-ci criait à Louis de revenir, ce qu'il fis.

LOUIS - Quoi, encore ?!
ZAYN - Calme ta joie, tiens -PASSE SON TELEPHONE- Prends des photos.
LOUIS - Quoi ?! Mais t'es..
ZAYN - Ferme là et obéis.

Louis ne répliqua pas, c'était Zayn le patron des lycéens. Louis mis le mode appareil photo sur le téléphone de Zayn. Le pakistanais s'approchait à nouveau de moi et mis ses bras autour de ma taille, m'embrassant brusquement. Je le repoussa, et ce fut à ce moment là que l'appareil photo décida de prendre la photo. Louis était plié en deux de rire.

LOUIS - Tu.. Tu t'es.. Tu t'es pris un de ces putains de vents Zayn.
ZAYN - T'es sérieuse Hayley ? T'es sérieuse ?
HAYLEY - Je suis pas ton jouet Zayn.

Je m'attendais pas à une telle réaction de la part de Zayn, il me regardait d'une façon vraiment étrange, un regard noir, mais dix fois pire que noir. Zayn regarda Louis puis me regarda, me mettant une deuxième droite pour la journée, me faisant à nouveau tomber au sol. Je mis ma main sur ma joue en signe de douleur. Louis s'était stoppé de rire d'un seul coup. Zayn me pris par les cheveux. Louis alla vers lui.

LOUIS - Calme toi Zayn !
ZAYN - T'as cru que tu pouvais faire comme tu veux ? [censuré].
LOUIS - Du calme Zayn, reste Zayn.. Euh non Zen, reste Zayn.. Reste ZEN !
ZAYN - Ferme là toi !

Zayn me souleva d'un coup et me plaqua violemment contre le mur, me regardant droit dans les yeux. J'avais la joue droite rouge à cause de la gifle que je venais de me prendre et un bleu m'apparaissait sur la joue gauche à cause du coup de toute à l'heure. Zayn me décala un peu du mur et m'y poussa fortement, je tomba en avant sous le coup, ayant vraiment mal. J'essayais de tenir sur mes bras mais ils me lâchèrent. J'étais alors couchée au sol.

ZAYN - T'as mal fait de choisir ce camps là Hayley.
LOUIS - [censuré] mais t'es fou ?! C'est une fille Zayn, une fille !
ZAYN - Tu veux que je te fasse pareil ?

Louis resta silencieux, je ne bougea pas, j'étais immobilisée par la douleur. Des larmes coulaient sur mes joues. Louis le voyait, il me regardait avec un air désolé. Zayn commença à partir et demanda à Louis de le suivre, celui-ci lui répondit qu'il arrivait. Lorsque Zayn eu disparu dans l'obscurité, Louis vins vers moi et me releva légèrement.

LOUIS - J'aurais pas dû venir, c'est de ma faute, désolé Hayley.
HAYLEY - T'en fais pas, c'est la deuxième fois en moins d'une heure je commence à comprendre..
LOUIS - Je veux pas qu'il te fasse de mal..
HAYLEY - Je sais, t'en fais pas pour moi..

Louis ne savait pas quoi me dire, ça se voyait dans ses yeux. Il avait posé avant une de ses mains sur mes joues, c'était la même douceur que celle que j'avais ressenti après manger, il avait la même odeur, la même douceur, le même rythme de respiration, la même chaleur dans son souffle. Louis se rapprochait de moi, je ne bougeais pas. Zayn arriva à ce moment là, il tira Louis par le bras.

ZAYN - Allez, dégage toi.
LOUIS - Mais Zayn..
ZAYN - J'ai dit dégage !
LOUIS - Tss.. Toujours là pour gâcher tout..
ZAYN - Pardon ?
LOUIS - J'ai dit que si tu veux je peux prendre les photos.
ZAYN - Bah vas-y.

Zayn se baissa vers moi, il me caressa la joue doucement. Il faisait signe de douceur à ce moment là, mais comme j'ai pu le remarquer c'est toujours très court, ces moments. Zayn se releva et me souleva pour me mettre les pieds à terre. Il avait mis une de ses mains sur ma joue droite et l'autre à ma taille et se rapprocha de moi. Je sentit ses lèvres se poser sur les miennes, à ce moment là mes yeux se fermèrent tout seul. J'entendais le bruit de l'appareil photo sur le téléphone de Zayn, je sentait les légères caresses de Zayn, je venais de me rendre compte qu'il faisait froid et que ce n'était pas les mains de Zayn qui était chaudes mais moi qui était gelée. Zayn me plaqua contre lui, m'embrassant un peu plus fougueusement. Je n'y croyais pas, je savais pas si je devait juger ça vrai ou faux. Le pakistanais stoppa le baiser peut après et récupéra son téléphone des mains de Louis. Il me pris la main.

ZAYN - Viens, on va dans un bar.
LOUIS - Tu vas pas..
ZAYN - Tu crois quoi toi ?

Je ne compris pas ce qu'ils voulaient dire mais je suivit tout de même les deux garçons. Zayn me tenait par la main, Louis qui avait vu que j'avais froid m'avait passé sa veste. J'hésitait. Zayn me fis entrer dans un bar, j'avais pas confiance. Le bar puait l'alcool et la drogue, j'eu envie de vomir soudainement et lâcha la main de Zayn, je trouvais facilement les toilettes. Peut de temps après je revins et vis Zayn assis à une table avec Louis, il me passa un verre et me dis qu'il l'avait pris pour moi, sans me soucier de rien, je le but. Je me réveilla le lendemain matin avec un mal de tête pas possible, je voyait à moitié flou et je me souvenait de rien de ce qu'il s'était passé. Mon père se pointait devant mon lit.

HAYLEY - Tiens, salut papa.
PAPA - Hayley, espèce d'imbécile ! Tu bois depuis quand ?!
HAYLEY - Hein ? Qu'est-ce tu racontes ?
PAPA - Tu pues l'alcool à des kilomètres à la ronde, depuis quand tu te drogues ?
HAYLEY - Mais je me drogue pas oh !
PAPA - T'as fais quoi hier ?
HAYLEY - Je sais plus moi, j'étais avec des bisounours je crois.
PAPA - C'est quoi ces bleus ?
HAYLEY - On m'a frappé.
PAPA - Qui ça ?
HAYLEY - JE-NE-SAIS-PAS ! Ça te vas là ?

Je sortie de ma chambre et alla dans la salle de bain, mon père me saoulait légèrement là. Pendant ma douche, j'eu quelques moment d'hier soir qui me revinrent en tête. #J'étais sur les genoux de Zayn, absolument mentalement dans les vappes. Je me tourna vers lui et mis mes mains sous son tee-shirt, l'embrassant sauvagement sous les yeux de Louis.# Je regarda mes mains et me mordit les lèvres, comment j'avais pu faire ça ? Maintenant ça me revenait peu à peu. J'avais mal à la tête, une fois sortie de la douche et en serviette, je remarqua des bleus et des coupures sur mon visage, je ne savait pas ce que c'était, sauf ceux sur mes joues. #Je me mise sur les genoux de Louis avec un sourire. "Hayley, t'es bourrée." c'est les mots qui sortent de sa bouche, je m'en fiche. Je mis mes mains sur ses joues et l'embrassa. Zayn me tira en arrière, une blonde entre dans le bar. C'est l'ex de Zayn je crois.# Je compris alors ce qu'il s'était passé après, j'eu envie de vomir et alla vers les toilettes. Pourquoi j'avais fait ça ? Je partie m'habiller dans ma chambre et pris un haut avec le drapeau des USA ainsi qu'un slim rouge. Je pris également mes lunettes de soleil et les mises sur mon nez puis mis mes converses noires. Après que ceci fut fait, je sortie de chez moi avec mon sac de cours et alla au lycée. Zayn faisait comme si tout était normal, je voulu aller le voir mais vit qu'il pris la main de la blonde d'hier soir, ça me brisa le coeur. J'eu un choc encore plus intense en les voyant s'embrasser. Je ne comprenais plus rien, rien. Je me tourna vers l'endroit où était Louis et le vis avec Eleanor Calder, ils s'embrassaient également. Qu'est-ce qu'il se passait ? Je mis mes mains sur mon visage et sentit quelqu'un me faire un câlin, je releva la tête et vis Niall.

NIALL - Qu'est-ce qu'il y a Hayley ?
HAYLEY - Je comprends plus..
NIALL - Quoi ?
HAYLEY - Hier j'ai.. Enfin bref, non rien.

J'aperçu que Zayn me regardait, il était avec ses amis et me pointa du doigt. Ses amis se mirent à rire à côté. On eu cours de français alors que la cloche sonna. Au début du cours, Zayn donna un DVD à la prof qui lui dit qu'elle allais le mettre. Je ne compris pas, il pris alors place à mes côtés et me chuchota qu'il ne fallait pas lui faire confiance. Comment ça ? Je comprends lorsque je vis apparaître en vidéo le premier moment ou il m'avais frapper, la personne qui avais filmer avait bien mis en avant le fait que je me faisait défoncer, toute la classe était morte de rire, sauf Louis, Liam, Harry et Niall. La séquence vidéo se coupa puis elle repris peut de temps après, le moment ou Zayn me tenais les poignets en m'embrassant.

PROFESSEUR - Zayn ! C'est la troisième vidéo ou tu embrasse quelqu'un en une semaine !
ZAYN - Je sais je sais.

En plus il en était fier ! Tout avait été filmé, même le passage ou j'était avec Louis, je vira soudainement au rouge. Zayn tourna la tête vers moi, il me regardait d'un regard noir, effrayant. Eleanor se tourna vers Louis et lui mis un baffe, presque toute la classe se moquait de Louis. Zayn se leva et me pris à nouveau par le cheveux pour me lever.

ZAYN - Toi, tu viens là !
HAYLEY - Lâche moi enculé !
ZAYN - Pardon ?
HAYLEY - T'as très bien compris.

Zayn me regardait avec un sourire quand même effrayant, je lui mis un énorme coup de pied entre les jambes, il me lâcha sur le coup, je pris rapidement mes affaires et sortie de la salle en courant, j'alla me cacher derrière les casiers. J'entendis Zayn dire à Louis de venir, j'entendis le rire de Louis. Déjà le pakistanais se tenais devant moi, j'ouvris la bouche pour parler mais impossible de prononcer un mot, et déjà, les coups fusèrent.

Je me réveilla seulement une demi-heure plus tard à l'infirmerie, l'infirmière m'assura que je m'étais assommée en me cognant la tête. Ce qu'elle ne savait pas était que je savais ce qu'il s'était passé, peut-être qu'elle elle ne le savait pas. J'avais mal au coeur à penser que ce n'était pas seulement Zayn qui m'avais frappé mais aussi Louis. Pourquoi il avait fais ça ? Je sortie quelques dix minutes après de l'infirmerie avec mes affaires de cours. J'alla toquer à la porte du cour de musique puis ouvrit la porte.

PROFESSEUR - Entre donc Hayley, place toi entre Zayn et Louis je te pris.
HAYLEY - N..Non pas eux..
ZAYN - Allez fais pas ta [censuré] ramène toi.
PROFESSEUR - Zayn ! Met toi à côté de Liam alors, si tu veux bien ?

Zayn me lança un regard noir, j'alla à côté de Liam et sorti mes affaires, j'aperçu que Louis me regardait à un moment, il détourna le regard immédiatement. Le prof me jeta une baguette en bois dessus en voyant que je l'écoutait pas, je lâcha un petit "Aie" quand il me toucha.

HAYLEY - C'est pas comme si j'avais pas déjà était assez frapper par deux enculés des noms de Zayn et Louis m'sieur !
LIAM - Il a fais quoi encore ?!
NIALL - J'te jure Zayn t'es un homme mort !
HARRY - Depuis quand tu frappes les filles Louis ?
LOUIS - VOS-GUEULES !
ZAYN - Ils croient trop ces mecs.. Hayley, après le cours faut qu'on parle.

En entendant Zayn me parler, je devins soudainement toute rouge. Le prof annonça qu'on allait faire un cours de chant improvisé. Il donna les groupes. Donc Liam était avec Niall, Harry, Louis et Zayn.. Puis moi j'étais seule. Eleanor était avec Geneva Lane, Danielle Peazer et Perrie Edwards, dite la blondasse qui sert de petite amie à Zayn. Les filles passèrent en première, elles eurent 15 pour l'improvisation rapide. Zayn se leva ensuite et alla au micro, en passant devant moi il me caressa doucement la main, mon coeur s'accéléra. C'étais dingue comme ce mec me rendait folle. Les quatre autres vinrent à ses côtés. Zayn pris le micro, il me regarda et fis un petit sourire.

ZAYN - Oh I just wanna take you any way that you like. We could go out any day, any night, baby I'll take you there, take you there. Baby I'll take you there, yeah..

Je regardait seulement Zayn, j'écoutait même plus rien, je ne souriait pas ni rien, je l'observait juste. Je pense que tout le monde avait remarqué qu'en observant Zayn j'étais toute rouge. Je vis que Zayn s'approchait de moi, il sourit et chanta une dernière fois "And let me kiss you" puis posa doucement ses lèvres sur les miennes. Je ne bougea pas et vis l'air énervé de Louis, il alla justement se rasseoir en ne nous regardant pas. Zayn se retira ensuite avec un sourire et me chuchota "Au fait, le jeu ne fais que commencer". Il veux jouer ? On va jouer ! Je dû ensuite passer devant tout le monde.

HAYLEY - A chaque fois que je croise son regard, je me pose toujours les mêmes questions. Est-ce qu'un jour il va me voir, est-ce qu'un jour je vais pouvoir attirer son attention ? Qu'est-ce que je peux bien faire, pour qu'il me remarque ? J'ai toujours peur de faire un mauvais pas. Qu'est-ce que je peux bien faire, pour que je me démarque de toutes ces autres-là ? Oui c'est lui, que je veux, oui c'est lui, dont je suis amoureuse. Oui c'est lui, que je veux, avec lui je serait la plus heureuse.

Zayn avais un regard plutôt choqué à mes paroles, à la fin du chant j'alla vers lui, il me fis un sourire je lui rendit également puis tira Louis vers moi et l'embrassa doucement. Zayn se leva brusquement, il pris ses affaires et sorti de la salle, je voulu arrêter le baiser mais je sentit la main de Louis derrière ma tête. Il mis sa deuxième main à ma taille. Le prof vins nous séparer.

PROFESSEUR - On est pas dans un tournage de film x, merci.

La sonnerie retentit, je vis Zayn pas très loin, il vins vers moi et me plaqua violemment au mur avant de me mettre encore une fois un poing, mais cette fois il me tenait, il avait vraiment l'air énervé. Les personnes qui sortaient de la salle nous observaient.

ZAYN - C'était quoi ça Hayley ?!
HAYLEY - Tu veux jouer avec moi Zayn, on va jouer. Je ne t'appartient pas, je serais à toi que si tu me mérite.

Zayn se rapprocha de moi, il m'avais lâché, il me fis un petit sourire que je lui rendit immédiatement avant de lui mettre un vent phénoménal et de partir. Zayn resta figé sur place, jamais personne ne lui avait fait ça encore. Il serra les poings en me criant que je le regretterais, c'était plutôt lui qui allait en baver à présent. J'alla à la cantine avec Liam, Niall et Harry. J'aperçu la table de Zayn, oui tout le monde disait que c'était là ou il mangeait toujours, et alla m'y asseoir. Tiens il pensait de moi que j'était une [censuré] ? J'allais lui en faire voir de toutes les couleurs. Liam, Niall et Harry me vinrent également. Je vis Zayn arriver peut de temps après.

ZAYN - Tu dégages s'te plaît, c'est ma place.
HAYLEY - Y'a pas marqué ton nom, bouffon.
ZAYN - Bouffon ? Ah ouais ?
HAYLEY - Ou enculé, ou encore salaud si tu préfère.
ZAYN - Salaud ? Je vais te montrer c'est quoi un salaud, chérie.

Zayn appuya fortement sur le dossier de la chaise qui tomba, avec moi, en arrière. Il se mis au dessus de moi et me tenait les poignets. Je me mordit les lèvres, c'était dur de lui résister. Zayn demanda une chose à Louis, celui-ci alla le chercher. Il s'approcha doucement de moi puis pris ce que lui tendait Louis, je ne sentit plus la pression de ses mains sur mes poignets, il poussa la chaise plus loin et posa doucement ses lèvres sur les miennes, j'essaya de bouger mes mains mais je capta alors qu'il m'avait attaché, qu'est-ce que je dois faire là ? Zayn me mordit doucement les lèvres, tout le monde nous observaient, il rajouta peu après la langue à notre baiser, j'essayait de résister. Il me souleva légèrement mon haut et mis ses mains sur mon ventre, me caressant doucement en arrêtant le baiser.

HAYLEY - Zayn.. Ar..Arrête..
ZAYN - Je ne te ferais pas encore ce plaisir Hayley.

Zayn mis ses mains dans mon dos, j'avais des frissons, il me réembrassa autant que la première fois, j'aperçut par le visage de Louis qu'il était dégoûté. Mon coeur battait beaucoup plus vite que la normale. Zayn mis une de ses mains sur une de mes hanches, j'eu un frisson. Il arrêta soudainement le baiser et sourit.

ZAYN - Quand je disait que t'étais une [censuré], j'avais pas tord.

Zayn se leva de sur moi et fis signe à Louis de venir, le pakistanais me détacha puis s'en alla avec son ami, je me redressa. Liam croisa les bras en me regardant et Harry rit un peu en lâchant un "Bah vas-y fait l'amour avec Zayn devant tout le monde aussi". Je vira au rouge et pris mon sac de cours avant de partir rapidement du réfectoire. Je me rendais compte qu'il était plus doué que moi à ce jeu, je pouvais rien y faire. J'entendis des pas derrière moi. Quand je me retourna, je vis Louis. Il me fis signe de me taire et m'emmena à un autre endroit, c'était un petit lac derrière le lycée.

LOUIS - Ne dis rien à Zayn pour cet endroit, il serait capable de tout détruire.
HAYLEY - T'en fais pas..
LOUIS - Pourquoi tu m'as..
HAYLEY - Je sais pas..
LOUIS - C'est pour te venger de ce que te fais Zayn ?
HAYLEY - Je.. -FRISSON- Je sais pas..
LOUIS - Tu sais Hayley, faut pas te laisser prendre au piège, un moment tu seras vraiment amoureuse de lui, il va vouloir coucher avec toi puis il va te lâcher comme toutes les autres.
HAYLEY - Il y a eu quoi entre Liam et Zayn ?
LOUIS - Il a essayer de faire pareil, mais avec un garçon.. Et Liam est tombé amoureux de Zayn.
HAYLEY - Zayn est peut-être violant mais je suis sûr qu'il a des raisons de l'être.
LOUIS - Quand il était au collège il se faisait harcelé, il a fait des tentatives de suicide, je le connais depuis la quatrième réellement, au départ je faisait comme tout les autres. Oui il a des raisons d'être violent envers les garçons, mais rien n'explique sa haine envers les filles. Tout ses amis l'avaient abandonné dès qu'une personne avait dit que les pakistanais cherchaient qu'à détruire les Etat-Unis. Tu connais mal Zayn Hayley, il a beau être beau-gosse, jamais il ne fera encore une fois confiance à quelqu'un, autre que moi.

Je regarda Louis, il avait l'air sincère sur ses mots. L'histoire qu'il m'avait raconté sur Zayn me rappelait mon collège, on m'avais harcelée, frapper jusqu'à que je tombe dans les pommes. Même maintenant ça continuait avec Zayn.

LOUIS - Un jour en plein cours un garçon avait attrapé le bras de Zayn et l'avait ouvert avec une lame, depuis il fait aux autres personnes ce qu'il a subit..
HAYLEY - Tout ça ça me.. Rappelle mon collège..
LOUIS - Comment ça ?
HAYLEY - J'étais amoureuse d'un garçon, il étais magnifique, à la base il étais mon meilleur ami.. Quand je lui ai avouer mes sentiments il a commencer à me haïr, à m'insulter. On me disait de me suicider, de me jeter sous des trains et j'arrivais pas à tenir sous le coup. On me frappait toujours jusqu'à que je tombe dans les pommes, un jour j'ai écouté ce qu'ils me disaient.. Je.. J'ai était dans le coma pendant deux semaines, quand je suis revenue en cours personne n'avais remarqué mon absence. Et encore, maintenant ça continue avec Zayn.. -PLEURS- Je tiens plus, j'y arriverais pas.

J'étais tombée à genoux, en larmes, j'arrivais pas à contenir ce que j'avais essayer de garder en moi toutes ses années. Par mes sentiments qui sortaient, je n'avais pas entendu Zayn arrivé, en me voyant comme ça, il se mordit les lèvres et reparti aussitôt. Louis me pris dans ses bras et m'essuya mes larmes.

LOUIS - Je comprends, mais t'en fais pas pour ça, ils regretterons de t'avoir faite souffrir, je peux te l'assurer. -CHANTANT- Your life, your voice, your reason to be my love, my heart is breathing for this moment in time..

Je lui fis un petit sourire, Louis se rapprocha doucement de moi. Je voyais qu'il hésitait à faire une chose. Pourquoi il hésitait ? Il mis sa main sur la mienne, j'eu un léger frisson à ce contact, il posa sa deuxième main sur ma joue et posa doucement ses lèvres sur les miennes, je ne bougea pas au départ et ferma les yeux, profitant de ce moment. J'entendis quelqu'un revenir et j'entendit un "Hay.." puis plus rien, c'était la voix de Zayn. Louis mis sa main derrière ma tête et m'allongea doucement sur l'herbe tout en m'embrassant. Il me mordait doucement les lèvres, je répondait à chaque fois au baiser, lorsque j'ouvrit légèrement les yeux je vis Zayn. Il n'avait pas le même air de d'habitude, il avait changé totalement d'air, il avait les larmes aux yeux, je le vis se retourner et partir mais je ne voulait pas bouger. Louis se mis au dessus de moi en laissant nos lèvres en contact, je referma doucement les yeux et rajouta la langue à notre baiser, il prolongea le baiser tel quel. C'était le seul baiser doux que j'avais eu ces temps-ci. J'avais réellement des sentiments pour Zayn, mais je ne savait pas pourquoi je laissait Louis faire. Louis mis ses mains sur mon ventre, me caressant doucement, j'eu des frissons. Il remonta ensuite légèrement ses mains et arrêta le baiser.

HAYLEY - Mh.. Arrête Z..
LOUIS - Euh...
HAYLEY - Désolé Louis..

Louis enleva brusquement ses mains, "Si c'est lui que tu veux alors vas le voir, mais il faudra pas revenir me voir après quand t'auras besoin de quelqu'un pour t'aider" c'était les paroles de Louis. J'avais un choix difficile sur les épaules, je pouvais pas stopper ce que je ressentait envers Zayn comme ça, mais je voulais pas non plus que Louis me laisse. Je regarda le brun qui se tenait en face de moi, nos regards se croisaient, je baissa immédiatement les yeux, virant immédiatement au rouge.

HAYLEY - Me demande pas de choisir..